Une ambiance mystérieuse règnait jeudi soir, sur la mezzanine du bar à jeu associatif “Moi j’m’en fous, je triche”, au 8 rue Leynaud.
Comme tous les mois les “loups-garous de Thiercelieux” ont pris forme humaine. Quinze joueurs ont fait un cercle, tandis que Dryss, le maître du jeu (bénévole de l’association) en était son gardien. Tout d’abord, il a distribué les cartes qui indiquaient en secret à chaque receveur son rôle dans la partie : villageois, loup-garou, sorcière…
Puis il a mis en scène l’intrigue. Ce soir-là, trois loups-garous se sont cachés sous les traits de paisibles villageois qui, lorsque la lune se levait, se transformaient pour égorger un habitant.
Pendant le jour, réunis en conseil, les survivants essayaient de les démasquer afin de les envoyer au bûcher. Jeu d’ambiance, d’influence ou chacun tente de faire parler l’autre afin de savoir qui il est vraiment.
Ce soir-là, les loups-garous ont perdu, mais tout le monde a été d’accord pour recommencer une autre partie.
Article paru le 19 février 2011 dans Le Progrès.